Inondations: valoriser les interfaces entre les milieux de vie et les zones inondables
Découvrez comment ces espaces de transition peuvent contribuer à une cohabitation harmonieuse de milieux aux natures différentes.

Les espaces de transition entre les milieux bâtis et les zones inondables ne font généralement pas l’objet d’une attention particulière dans la planification territoriale des municipalités québécoises. Pourtant, l’aménagement de ces interfaces pourrait contribuer à mieux intégrer et mettre en valeur les cours d’eau et leurs zones inondables au sein ou à la lisière des milieux bâtis. Cet article éclaire cette notion d’interface en l’appliquant aux secteurs bâtis qui bordent des milieux hydriques et défend son importance à travers des exemples inspirants.
Pourquoi est-ce important de s’attarder aux interfaces entre les milieux bâtis et les zones inondables?
Lors de la rencontre entre un milieu bâti et un milieu susceptible d’être inondé, l'aménagement de l’interface représente à la fois un enjeu technique, pour la gestion des risques liés aux inondations, et un enjeu paysager, pour inscrire le milieu bâti dans son environnement (Legenne et collab., 2010). D’ailleurs, historiquement, l’aménagement des espaces urbanisés et l’aménagement des berges des cours d’eau ont été conçus séparément, sans qu’une approche globale n’ait veillé à leur articulation et à leur complémentarité.
Pourtant, ces espaces sont capables d’assumer plusieurs rôles, autant symboliques que fonctionnels, contribuant au développement de milieux de vie résilients et favorables à la santé (Roué-Le Gall et collab., 2020). Aujourd’hui, la modernisation du cadre réglementaire québécois s’appliquant aux milieux hydriques, dont les zones inondables, donne l’occasion de repenser cette connexion.
Définition et caractéristiques d’une interface entre une surface inondée et un milieu bâti
La notion d’interface fait référence à l’espace de liaison ou de transition entre deux milieux de nature différente, et renvoie donc, par opposition, aux notions de discontinuité et de limite (Géoconfluences, 2023). Cette limite se définit par sa forme plutôt que par les fonctionnalités qui y sont associées.
Dans cet article, nous appliquerons cette notion à la zone de contact entre toutes surfaces susceptibles d’être inondées et les milieux bâtis voisins. À la fois ligne de démarcation et espace de transition, cette interface n’est ni fixe ni immuable. Elle évolue dans le temps sous l’effet des variations hydrologiques, des transformations urbaines et des stratégies d’adaptation mises en place. Sa largeur peut également varier, allant d’une frontière nette à une zone plus diffuse où les interactions entre l’eau et le bâti se complexifient.
Bien que spécifique à chaque milieu, une interface peut être de forme, de nature ou de structure variées. Qu’elle soit plutôt naturelle ou artificielle, dans un milieu ouvert ou dense, plat ou surélevé par rapport au cours d’eau, et qu’elle soit étroite ou large, chaque interface peut être aménagée pour encourager un dialogue entre deux milieux.
Critères de réussite d’une interface
Afin d’éviter une rupture brutale des paysages et une discontinuité des trames urbaines et écologiques, l’interface doit jouer un rôle de transition et de valorisation mutuelle des deux milieux qu’elle relit. Plus qu’une simple zone de démarcation, cet espace doit pouvoir contribuer au développement de milieux de vie complets en répondant aux besoins sociaux, écologiques et urbanistiques du territoire. Une interface bien conçue repose sur plusieurs critères essentiels :
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La multifonctionnalité: une interface doit remplir plusieurs rôles simultanément; elle peut à la fois assurer une fonction de protection contre les inondations, tout en offrant des espaces récréotouristiques accessibles au public ou en constituant des habitats favorables à la biodiversité.
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L’accessibilité: l’interface doit favoriser une connexion fluide entre le milieu bâti et l’eau, par exemple sur le plan physique (p. ex. accès, déplacements véhiculaires ou actifs) ou visuel (p. ex. points de vue sur le plan d’eau).
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L’intégration paysagère: les choix d’aménagement de l’interface doivent être cohérents avec les caractéristiques naturelles et bâties des milieux d’insertion. Assurer la cohérence de l’interface avec l’identité du lieu contribue à l'appropriation du site par la population.
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L’attachement à l’eau: la proximité d’un plan d’eau a souvent joué un rôle central dans l’histoire et l’identité des territoires. Une interface réussie veille à conserver et à mettre en valeur cette mémoire, que ce soit à travers des aménagements évoquant l’histoire fluviale, des éléments patrimoniaux réhabilités ou des dispositifs pédagogiques sensibilisant à la dynamique des cours d’eau et à leur importance écologique.
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La résilience face aux changements climatiques: l’interface doit être conçue pour supporter les aléas climatiques actuels et futurs, notamment aux inondations et aux vagues de chaleur. Les risques liés aux changements climatiques doivent être pris en compte dans le choix des aménagements afin de limiter les dommages associés.
Muret de protection du canal industriel à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane, contribuant à une rupture brutale entre les milieux hydriques, résidentiels et industriels. Source: Mario Tama / Getty Images.
Digue de protection multifonctionnelle faisant office d’interface vivante et active par la Grebbedijk, aux Pays-Bas. Source: Hermann Stöver.
Les critères de réussite pour faire d’une interface un espace de dialogue entre deux milieux à vocations différentes. Source: Vivre en Ville.
Des exemples d’interfaces planifiées et vivantes
L’aboiteau de Saint-André-de-Kamouraska: une démarcation fine et fortement appropriée par la population
À Saint-André-de-Kamouraska, la municipalité est bordée côté fleuve par une digue de terre connue sous le nom d’aboiteau. Grâce à son système de clapets s’ouvrant et se fermant en fonction des marées, cette structure, historiquement conçue pour faciliter l’agriculture en empêchant l’intrusion des eaux marines sur les terres, a permis l’implantation et le développement du bâti. Aujourd’hui, l’aboiteau constitue une interface étroite et surélevée séparant un milieu naturel ouvert, le fleuve Saint-Laurent, et le milieu bâti peu dense du périmètre d’urbanisation de la municipalité.
Cette interface est profondément ancrée dans l’histoire et l’identité de la population de Kamouraska. En offrant une forme de protection contre les inondations et en incarnant un projet collectif, l’aboiteau a façonné non seulement le développement du territoire mais aussi le tissu social et communautaire. Son relief surélevé en fait un élément marquant du paysage auquel la population s’est attachée. Une vingtaine de points d’accès ont été aménagés, sous la forme de passerelles publiques ou privées, permettant de faire de l’aboiteau un sentier piétonnier prisé, offrant des points de vue exceptionnels non seulement sur le fleuve, mais aussi sur le village et la falaise environnante.
Interface entre le milieu bâti de Saint-André-de-Kamouraska et le fleuve Saint-Laurent matérialisée par l’aboiteau. Source: Vivre en Ville.
L’aboiteau de Saint-André-de-Kamouraska jouant le rôle d’interface entre le fleuve Saint-Laurent et le village. Source: Nicolas Gagnon.
L’aboiteau de Saint-André-de-Kamouraska comme sentier expérientiel de la jonction entre deux milieux. Source: Vivre en Ville.
La promenade Eau Claire de Calgary: une interface planifiée et intégrée au paysage
Afin de protéger son centre-ville des inondations de la rivière Bow, la Ville de Calgary a repensé l’aménagement de ses berges le long de quatre quartiers centraux sur plus de quatre kilomètres, entre le Red Peace Bridge et le Reconciliation Bridge. Le projet combine des infrastructures de résilience aux inondations avec des aménagements favorisant la mobilité active, l’accès à l’eau et la tenue d’événements rassembleurs.
Une première section des berges a été complétée en 2018. Les aménagements paysagers assurent une transition graduelle et accueillante entre la rivière Bow et les quartiers centraux denses de Calgary. On y retrouve par exemple le Delta Garden, un jardin composé de bacs de plantation surélevés inspiré de la forme d’un delta. À l’est, la promenade surélevée sert à la fois d’ouvrage de protection et de parcours piétonnier. Plus loin, un muret de protection se fond discrètement dans une rangée de bancs publics, tout en préservant l’accessibilité à la promenade grâce à des ouvertures stratégiques. Des travaux de prolongement de la promenade le long des quartiers centraux jusqu’au Reconciliation Bridge ont été réalisés entre 2021 et 2023. Cet aménagement a renforcé la connexion entre les berges et le cœur de ville.
Mur de protection intégré dans les bancs publics. Source: Landezine International Landscape Award.
Le Delta Garden, avec mur de protection longeant la piste cyclable. Source: Landezine International Landscape Award.
Conçu dans une perspective de résilience, les berges répondent à plusieurs fonctions essentielles:
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Protection contre les inondations: l’ouvrage agit comme une barrière discrète mais jouant un rôle important pour réduire l’exposition du centre-ville aux crues.
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Mobilité et accessibilité: la promenade prolonge le réseau piétonnier et cyclable, facilitant les déplacements doux entre les quartiers riverains et le centre-ville.
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Intégration paysagère: l’aménagement respecte et met en valeur la topographie existante tout en s’harmonisant avec les espaces plus centraux tels que la zone 1 ou 2 comme définis dans le Eau Claire Public Realm Plan (02 PLANNING et MBAC, 2022). Il établit une limite claire et pérenne entre les milieux bâtis et les berges non bâties.
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Lien social et biodiversité: la volonté de créer un espace de liaison se traduit par des lieux de rencontre, des aires de détente et des habitats favorables à la biodiversité.
À travers ce projet, Calgary démontre comment une interface bien pensée peut transformer une contrainte en opportunité, en conjuguant adaptation aux changements climatiques, dynamisme urbain et mise en valeur du paysage fluvial.
Planification de l’interface Eau Claire Promenade en cohérence avec les secteurs bâtis environnants. Source: Vivre en Ville, d’après Ville de Calgary, 2022.
La promenade Eau Claire. Source: Ville de Calgary.
La Vallée du Guyoult à Dol-de-Bretagne: une zone tampon naturelle agissant comme liaison entre réservoir de biodiversité et milieu habité
En 2002, la Ville de Dol-de-Bretagne en France a entrepris un ambitieux projet de renaturalisation de la Vallée du Guyoult afin de réduire les risques liés aux inondations et de restaurer un écosystème dégradé. Sur une superficie de 18 hectares, plusieurs interventions majeures ont été réalisées: retrait des digues, aménagement de bassins paysagers et restauration d’habitats naturels. Ouvert au public en 2009, le site est aujourd’hui une interface dynamique entre un réservoir de biodiversité et les quartiers résidentiels voisins, combinant protection contre les crues, valorisation écologique et accessibilité pour les personnes résidant dans le voisinage.
La renaturalisation du site repose sur la réintégration des dynamiques hydrologiques naturelles du Guyoult, transformant la vallée en un espace tampon efficace face aux inondations. Les divers milieux recréés remplissent plusieurs fonctions complémentaires :
- Rétention et filtration des eaux: les mares et marais permanents jouent un rôle central dans la gestion des crues, en permettant le stockage et l’oxygénation de l’eau;
- Restauration de la biodiversité: la vallée offre des habitats essentiels pour de nombreuses espèces, notamment une frayère à brochets, contribuant à la préservation de cette espèce en voie de disparition. Aussi, la gestion différenciée des espaces verts et l’écopâturage permettent de limiter l’impact des activités humaines sur l’écologie du site;
- Rétablissement des dynamiques hydrologiques naturelles: la libre circulation de l’eau est permise grâce à la suppression des digues, permettant aux milieux humides et hydriques de retrouver ses mouvements naturels et de mieux interagir avec son environnement.
En redonnant au Guyoult sa visibilité et sa place au cœur du territoire, la Ville de Dol-de-Bretagne a également renforcé le lien entre la population et son environnement. Plusieurs connexions ont été aménagées avec les quartiers voisins, permettant d’accéder à un réseau de plus de cinq kilomètres de sentiers et de passerelles piétonnières. Un grand pré, situé à proximité des habitations, offre un espace de détente et d’activités en pleine nature.
Les bassins paysagers de gestion de crues accessibles au public de la Vallée du Guyoult à Dol-de-Bretagne. Source: Vivre en Ville.
Bassin paysager de la Vallée du Guyoult. Source: Cerema.
Les quais de l'Escaut à Anvers: sept tronçons pour une interface adaptée aux différents milieux
En 2010, la Ville d’Anvers et le gouvernement flamand, en Belgique, ont approuvé le Masterplan Scheldekaaien, un plan directeur d'un projet d’envergure visant à réaménager les quais de l’Escaut. Dans ce plan, l’interface entre l’Escaut et les quartiers riverains d’Anvers, c’est-à-dire les quais, ont été divisés en sept tronçons de longueur et de largeur variables. Chaque tronçon a été conçu selon des paramètres spécifiques, intégrant des considérations techniques, patrimoniales, paysagères et fonctionnelles. L’objectif principal était de rétablir le lien entre la ville et le fleuve, tout en répondant aux enjeux liés aux inondations et à la mobilité urbaine.
Les choix de réaménagement des quais d’Anvers et des mesures d’adaptation aux risques d’inondations se sont basés sur les différentes caractéristiques urbaines et environnementales de chaque secteur: certaines sections du site sont marquées par un patrimoine bâti de grande valeur, tandis que d’autres se prêtent davantage à des aménagements naturels ou récréatifs. Cette diversité a conduit à la mise en place de mesures de protection évolutives et intégrées, dont:
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une digue verdie intégrée au design d’un sentier dans un nouveau parc linéaire;
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un muret intégré au design du tronçon destiné à demeurer fidèle à la forme traditionnelle des quais, plus minéralisée, avec des ouvertures refermables manuellement;
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une barrière mobile résistante au gel qui se soulève lorsque l’eau monte (pouvant aussi être déclenchée préventivement) pour les tronçons au centre-ville où la vue sur l’eau et l'accessibilité aux quais doivent être maintenues le reste du temps;
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une barrière intégrée à même des bâtiments patrimoniaux afin d’en préserver l’apparence.
Entre le fleuve et les infrastructures de protection, des zones ont été pensées pour accueillir de potentielles inondations. Dans ces espaces polyvalents, où seules des activités peu vulnérables sont permises, on retrouve des sentiers de promenade et des aménagements temporaires. Cette conception permet à la Ville d’Anvers de cohabiter avec le fleuve, plutôt que de se contenter de le contraindre.
Réaménagement des quais de l'Escaut selon les caractéristiques bâties et naturelles de sept tronçons. Source: Vivre en Ville.
Sentier piétonnier et cyclable sur la digue multifonctionnelle, au niveau de la zone 5 Sint-Andries en Zuid. Source: Frederik Beyens.
Les quais de l’Escaut à Anvers comme espace convivial de rencontre. Source : Bart Gosselin.
Conclusion: les enseignements
Les cas présentés illustrent la diversité des interfaces qui existent entre des milieux bâtis et des zones inondables, ainsi que la pluralité des approches pour les concevoir. De ces exemples, certaines leçons peuvent être tirées:
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L’identification de la forme de l’interface et des caractéristiques des milieux naturels et bâtis constitue une étape clé permettant d’adapter les interventions aux spécificités du territoire et d’assurer une intégration cohérente.
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La planification des zones de transition assure une cohérence spatiale et fonctionnelle de l’interface dans toute sa longueur et favorise une cohabitation harmonieuse entre les deux milieux qu’elle délimite pour que chacun puisse jouer son rôle adéquatement. Elle clarifie la limite des milieux bâtis, afin qu’il ne soit plus envisageable d’empiéter sur les berges.
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Le design de l’interface influence les comportements des usagers. En offrant des modes de déplacements actifs, des points de vue sur le plan d’eau ou en intégrant des espaces conviviaux, un aménagement peut améliorer la qualité du milieu bâti. Il peut également influencer le rapport de la population à l’eau et aux zones inondables, renforçant ainsi la compréhension des dynamiques hydrauliques et écologiques.
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La valorisation de l’interface passe par une reconnaissance ou une attribution de plusieurs fonctions complémentaires, qu’elles soient d’ordre écologiques, récréatives ou paysagères, en plus de la fonction de gestion des risques qui lui est souvent associée. Cette multifonctionnalité permet de répondre à plusieurs besoins des communautés et assure une plus grande viabilité du milieu.
À retenir:
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Les interfaces entre les milieux bâtis et les zones inondables des plans d’eau méritent de faire l’objet d’une planification détaillée au sein des documents d’urbanisme. Plutôt que de tourner le dos aux milieux hydriques ou, au contraire, de continuer de les artificialiser faute d’une limite claire, saisissons l’opportunité d’en faire des espaces de transition qui soutiennent le bien-être et le sentiment d’appartenance au territoire.
Références
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Projet «Vers une planification intégrée des milieux de vie bâtis et des zones inondables»
Ce projet est réalisé grâce à l'aide financière du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation.
VIVRE EN VILLE (2025). Inondations: valoriser les interfaces entre les milieux de vie et les zones inondables. Carrefour.vivreenville.org.
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Date de publication 26 mars 2025Date de mise à jour 27 mars 2025
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