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Dossier spécial

Le transport collectif, une priorité nationale

Chaque année qui passe sans une offre de transport bonifiée est une année de développement urbain perdu pour la transition écologique. Le transport collectif doit devenir une priorité nationale.

Économique et inclusif, le transport collectif est crucial pour des milieux de vie juste. Une vague de mobilisation sans précédent déferle partout au Québec: du milieu des affaires au milieu municipal en passant par les sociétés de transport ou encore les citoyens, tous parlent d’une même voix pour appeler à une amélioration des services de transport collectif, et donc pour un financement conséquent.

Il faut profiter de ce momentum et appuyer sur l’accélérateur pour augmenter la fréquence, l'accessibilité physique et économique, et la fiabilité pour que se concrétisent des projets structurants.

Chaque année qui passe sans une offre de transport bonifiée est une année de développement urbain perdu pour la transition écologique. Le transport collectif doit devenir une priorité nationale.

Économique et inclusif, le transport collectif est crucial pour des milieux de vie juste. Une vague de mobilisation sans précédent déferle partout au Québec: du milieu des affaires au milieu municipal en passant par les sociétés de transport ou encore les citoyens, tous parlent d’une même voix pour appeler à une amélioration des services de transport collectif, et donc pour un financement conséquent.

Il faut profiter de ce momentum et appuyer sur l’accélérateur pour augmenter la fréquence, l'accessibilité physique et économique, et la fiabilité pour que se concrétisent des projets structurants.

Le transport collectif doit être une priorité nationale

Dans une de ses dernières chroniques, notre directeur général partage son bilan post-pandémique du transport en commun au Québec en soulignant que c'est l'un des pans de notre société qui a beaucoup souffert. Il rappelle qu'il est tout de même possible de changer de cap! 

« Qui plus est, développer le transport en commun, c'est s'enrichir tout en donnant plus de possibilités aux plus vulnérables. Ça prend un bon réseau de transport en commun pour avoir accès aux meilleurs emplois, aux lieux d'éducation, pour participer pleinement au développement de la collectivité quand on n'a pas les moyens d'ajouter une voiture dans un budget serré (ou pas la capacité de la conduire). Donner le choix du transport en commun à de plus en plus de monde, c'est une mesure autant sociale qu'économique. 

Et les économies sont récurrentes, année après année! En ce moment, certains semblent vouloir laisser tomber le transport en commun. Ce serait la pire chose à faire. Au contraire, il faut recréer le momentum prépandémique. En donnant le signal du développement, la machine va repartir, comme c'est le cas ailleurs, dans les juridictions qui ont gardé le cap. 

Redressons la barre tout de suite pour faire des gains, sur tous les plans, dès demain. »


À consulter

Une mobilisation sans précédent pour le transport collectif, partout au Québec

À l’échelle des villes, des villages et des régions, à travers les sociétés de transport, les usagères et usagers, la société civile, le milieu scientifique et le milieu des affaires, une mobilisation sans précédent gagne tout le territoire québécois en faveur du transport collectif. Il est primordial de saisir ce momentum pour propulser le développement du transport collectif et offrir à l’ensemble des Québécoises et Québécois un service à la fois efficace et accessible, à la hauteur de leurs attentes et de leurs besoins.


À consulter

La grande question du financement du transport collectif, quelle société voulons-nous?

La bonne manière d’aborder la question du financement, ce n’est pas de demander « Comment résorber le déficit ? » mais plutôt « Quel service public voulons-nous ? ». Le véritable déficit, actuellement, c’est le manque de services partout sur le territoire. De nouveaux quartiers se développent dans les banlieues, dans les centres urbains et dans les villages du Québec. Pendant ce temps, l’offre stagne, donc elle se détériore.

Les solutions sont connues. Parmi celles-ci, il y a:  

  • L’indexation de la taxe sur l’essence et de la taxe d’immatriculation, au même niveau depuis 2013 et 1992;
  • Revoir les règles de financement des réseaux de transports routiers et collectifs et les responsabilités du gouvernement du Québec et des municipalités établis lors de la réforme Ryan;
  • Diversifier les sources de revenus;
  • Baser chaque investissement en transport sur des critères d'efficacité dans une perspective de mobilité durable.


À consulter


Vers une planification intégrée et un meilleur arrimage des projets de mobilité

Réaliser des projets majeurs appelle à une planification plus prévisible et mieux arrimée. Alors que le projet de loi 61 octroie des pouvoirs importants à Mobilité Infra Québec en matière de planification, une préoccupation majeure reste l’arrimage entre la planification des transports et la planification urbaine. La réalisation de projets intégrés transport - habitation manque cruellement aux collectivités québécoises, et il pourrait s’agir d’une opportunité de financement.


À consulter

Pour aller plus loin