Alors que le Québec parvient à réduire par ailleurs ses émissions de gaz à effet de serre, celles des transports sont en constante augmentation. L’éparpillement des entreprises et des institutions sur le territoire, qui contribue à allonger les parcours et privilégie l’accès en automobile, pèse de tout son poids dans ce bilan. L’étude du bilan carbone des déplacements vers 18 pôles d’activités répartis dans cinq agglomérations québécoises montre des disparités importantes.
L’étude La localisation des activités et les émissions de gaz à effet de serre: Comment la localisation des entreprises et des institutions détériore le bilan carbone révèle notamment que les centralités d’agglomération suscitent, de loin, le moins d’émissions. Les zones spécialisées, tout particulièrement les parcs d’affaires, ont un bilan carbone par visiteur qui s’avère désastreux.
En complément de cette étude, une synthèse à destination des décideurs, Le poids de l'éparpillement, est également disponible ici.
VIVRE EN VILLE (2017). La localisation des activités et les émissions de gaz à effet de serre: comment la localisation des entreprises et des institutions détériore le bilan carbone, 134 p.
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Collection Études
Les études de Vivre en Ville participent à l'approfondissement de connaissances spécifiques liées aux enjeux associés au développement des collectivités viables.
Les études de Vivre en Ville participent à l'approfondissement de connaissances spécifiques liées aux enjeux associés au développement des collectivités viables.
Date de publication 25 mai 2017Date de mise à jour 1er juin 2023Nombre de pages 134 -
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